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Vous avez le cerveau ramollo ? Inscrivez-le à la (brain) gym !

Parfois, et même souvent, c'est notre corps qui se met à dicter ses volontés à notre cerveau.

Chère lectrice, cher lecteur, "à mesure que je deviens vieux je m'en aperçois mieux / J'ai le cerveau qui flanche /Soyons sérieux, disons le mot c'est même plus un cerveau / C'est comme de la sauce blanche..." Dans sa "Java des bombes atomiques", Boris Vian, qui avait toute sa tête, n'y allait pas avec le dos de la cuillère pour évoquer le vieillissement du principal organe de notre système nerveux.

Qui peut se vanter de n'avoir jamais eu la même déprimante impression ? De ne plus pouvoir réfléchir plus de quelques secondes, d'être incapable de concentration ou encore d'avoir une mémoire « pleine de trous » ? Bref, de se rapprocher dangereusement du « stade sauce blanche » !

Et donc de s'en prendre à ce fichu cerveau devenu fainéant, incapable, voire inutile...

Et si on désignait un innocent, tout en laissant dans l'ombre le vrai coupable de cet affaissement de nos capacités cérébrales ?

Et si le vrai responsable n'était pas notre cerveau... mais notre corps ?

Corps et cerveau sont connectés en permanence, ce n'est évidemment un secret pour personne. Mais, en règle générale, on considère comme allant de soi que le cerveau est le général et que le corps représente la troupe : le premier commande et le second obéit... ou pas. Quand le général perd ses moyens, c'est que la troupe s'est rebellée...

C'est la grande découverte du docteur américain Paul E. Dennison : parfois, et même souvent, c'est le corps qui se met à dicter ses volontés au cerveau. Au point d'être capable de le paralyser presque complètement.

Et si votre corps avait bloqué votre cerveau ?

Dennison a eu le mérite de tirer toutes les conséquences pratiques de sa découverte et de détailler les moyens à mettre en œuvre pour rétablir le bon équilibre entre corps et cerveau lorsqu'il est rompu.

C'est ainsi que, dès les années 1970, il a mis au point la « brain gym », gymnastique du cerveau.

Le médecin de Cambridge, dans le Massachusetts, a d'abord constaté que, très souvent, les gens qui ont des difficultés de lecture sont également tendus, au niveau du cou et de la gorge...

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